À la Une...

Le danger de la règlementation de la pauvreté et de la solidarité envers pauvres et précaires...



Discriminer les pauvres

C’est le moment de la trêves des expulsions, c’est aussi le moment de faire les comptes de la pauvreté en France, selon l’INSEE et  l’observatoire des inégalités la France comptait 4,8 millions de pauvres en 2010 si l’on fixe le seuil de pauvreté à 50 % du niveau de vie médian et 8,6 millions de pauvres si l’on utilise le seuil de 60 % du niveau de vie médian http://www.inegalites.fr/spip.php?article270.


Il est clair que la situation ne s’est pas améliorée à l’entrée de l’hiver 2012, le chiffre pourrait bien être de 10 millions de pauvres.

Devant cette catastrophe, deux urgences: manger et avoir un toit contre les intempéries.

Pour le premier besoin, un nom vient tout de suite à l’esprit celui de Coluche et des restos du coeur, pour le second l’abbé Pierre et droit au logement.

Ces  deux   d’organisations agissent dans l’urgence;  la faim et le froid n’attendent pas. Mais les médias connaissent moins bien  d’autres infrastructures qui sont aussi en place pour fournir la nourriture, c’est en partie le rôle du réseau des 79 Banques Alimentaires,  associations loi 1901 à but humanitaire, qui maillent le territoire national. Un travail difficile qui mobilisent un nombre sans cesse croissant de bénévoles à qui il faut rendre hommage.

Ces banques alimentaires distribuent les denrées à d’autres associations qui sont directement en contact avec les précaires. Ce maillage associatif surprend, parfois par des pratiques bureaucratiques dignes des meilleurs films de S.F mais qui sont significatives de la tendance contemporaine..

Le texte intégral 

Illustration : 74.jpg


A lire aussi

  
  

Notre dossier  




Consultez les articles par rubrique


CORONAVIRUS

LUTTES SOCIALES
FÉMINISME
ANTIRACISME ANTIFASCISME
>


SOLIDARITÉ MIGRANTS
ÉCOLOGIE
JEUNESSE ENSEIGNEMENT


POLITIQUE LOCALE
DÉBATS
POLITIQUE NATIONALE


INTERNATIONAL
RÉPRESSION
NPA