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Guerre d'Algérie. Un pied-noir sur cinq décida de rester dans l'Algérie indépendante !



La Guerre d'Algérie revisitée (rencontre demain samedi 2 février à Lunel)

 
 L'Hérault du jour du 31 janvier 2013

 


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Algérie(s) 2/4 : Pierre Daum pour libérer l’Histoire (Mediapart)

Dans son livre « Ni valise, ni cercueil » Pierre Daum révèle que 200 000 pieds noirs sont restés en Algérie
après la fin de la guerre, soit 1 sur 5. Un aspect de la guerre d’Algérie jusqu’alors jamais porté à la connaissance du public. Dans un contexte où la guerre des mémoires fait encore rage, la démarche est couillue.


Un film nécessaire sur les travailleurs indochinois
Lors de mon précédent billet sur Mediapart, un certain Guy Dufau avait posté le commentaire suivant : « Comment mieux faire connaître ce sinistre passé ? Vite un film avec les rescapés qui vont bientôt tous disparaître ! ». Voilà qui est chose faite, cher Guy Dufau que je ne connais pas. Mercredi 30 janvier 2013 sort sur les écrans français (enfin…, ceux qui font l’objet d’une programmation exigeante) le film de Lam Lê, Công Binh, la longue nuit indochinoise. Pour mémoire : Lam Lê, réalisateur vietnamien vivant en France depuis 40 ans, avait enthousiasmé la critique - et les spectateurs ! - dans les années 80 avec Poussière d’empire, un long métrage de fiction mettant en scène Dominique Sanda et Jean-François Stevenin errant dans une Indochine française en décomposition. Film documentaire de cinéma (et non de télévision !), Công Binh, la longue nuit indochinoise a toutes les chances de provoquer le même enthousiasme. Dans un langage cinématographique d’une grande rigueur et d’une poésie merveilleuse, Lam Lê raconte, par la voix des derniers témoins encore vivants, l’incroyable épopée des 20 000 paysans indochinois recrutés la plupart de force pour servir d’ouvriers dans les usines d’armement, pendant la Seconde guerre mondiale. Ce film est largement inspiré de mon livre Immigrés de force, les travailleurs indochinois en France (1939-1952)paru en 2009 aux éditions Actes Sud.

  

Notre ami Pierre Daum revient dans le texte ci-dessous sur un épisode particulier d'un pan méconnu de l'histoire de la France qu'il a mis en évidence dans la belle enquête documentée qui a pris la forme d'un livre que nous recommandons vivement : Immigrés de force, les travailleurs indochinois en France (1939-1952).

Les travailleurs indochinois enfin reconnus à Sorgues


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