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Israël massacre Gaza, Valls, Hollande attaquent...

 
  ...  le droit de manifester ! Disons non à Israël et à ses complices. Vive le peuple palestinien !

A Montpellier
 







En choisissant d’interdire certaines manifestations organisées en solidarité avec le peuple palestinien martyrisé, les autorités françaises ont franchi un cap dans leur soutien affirmé à Israël. En amalgamant opposition à la politique criminelle d’Israël et antisémitisme, Hollande-Valls et les officines pro-israéliennes ont franchi un cap dans l’abjection idéologique. Mais ces attaques ne nous feront pas taire, bien au contraire. 

Interdire… au nom de quoi ?
 
La décision d’interdire des manifestations a été prise au prétexte des incidents qui ont eu lieu en marge de la manifestation parisienne du 13 juillet. Mais de quels incidents parle-t-on ? La Ligue de défense juive (organisation interdite aux États-Unis et en Israël même) a une fois de plus joué les agents provocateurs en appelant à un rassemblement devant une synagogue située à quelques centaines de mètres de la fin du défilé. Un piège tendu aux manifestants, que la LDJ est en outre venue provoquer, et dans lequel se sont engouffrés quelques dizaines de participants souhaitant en découdre avec cette milice qui n’a de cesse de s’en prendre physiquement aux militantEs de la cause palestinienne. Mais jamais, comme l’a confirmé le président de la synagogue de la rue de la Roquette (« à aucun moment nous n’avons été physiquement en danger »), le lieu de culte n’a été attaqué.
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Vidéo : débat entre Julien Salingue et un député PS


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 Cukierman l'infâme qui couvre la LDJ et calomnie le NPA pour son supposé antisionisme antisémite 

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Connaître Cukierman

2002 : «Roger Cukierman a dit qu'il espérait que la victoire de Le Pen (dimanche, ndlr) servirait à réduire l'antisémitisme musulman et le comportement anti-israélien, parce que son score est un message aux musulmans leur indiquant de se tenir tranquilles.» Lire ici

2014 : Roger Cukierman : "Marine Le Pen est attentive à ne pas heurter notre sensibilité" Cliquer ici
 




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Les mots en guerre, je veux dire les mots que les médias utilisent pour parler de la guerre, perdent leur sens au premier coup de canon. La poudre met le feu aux dictionnaires et ce qui voulait dire noir signifie blanc. En ces heures les journalistes ont deux champs d’exercice pour leur sémantique, celui d’Ukraine où Poutine est « Hitler » et Svoboda « Gandhi », celui d’Israël où la politesse due à « un pays ami » a réussi à faire passer la langue militaire pour la vérité à répéter.

 Un exercice pratique, pris au hasard, mais qui est un échantillon de cet infini. Dimanche soir, le 20 juillet à 22 heures, face à la chaine i>Télé, j’apprends que des combattants, forcément du « Hamas », ont « enlevé » un soldat de Benjamin Netanyahou. Sur le plateau ils sont trois estampillés journalistes, et qui se renvoient cette information comme une boule de billard électrique. Si, pour l’un, le militaire a été « enlevé », pour un autre il a été « kidnappé ». En passant je signale que, par essence, ce mot qui contient « kid », ne peut être utilisé que lors de l’enlèvement d’un enfant. Le mieux est à venir, une jeune consœur évoque un « otage ». Ça y est ! Nous sommes dans un schéma connu, celui du soldat Shalit, capturé les armes à la main mais néanmoins « otage » pour la France. Cliquer ici

La politique actuelle du gouvernement socialiste a le mérite de la cohérence : en toutes circonstances et en tous les domaines, en France comme à l’étranger, il est dur avec les faibles et faible avec les forts. Les Palestiniens sont plus faibles que jamais. Cliquer ici

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