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Grèce. Un peuple est mis en danger par le capitalisme européen...


 ... il revient aux autres peuples de l'aider à résister et à reprendre l'offensive !

 Rassemblement de soutien au peuple grec à 19h le vendredi 3 juillet à Montpellier 
place des Martyrs de la Résistance (devant la préfecture). 
Non à l'austérité ! 
Non à la troïka,  
Non aux étrangleurs du peuple grec ! 

Le NPA34 appelle à ce rassemblement


 
















 

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Décidément, gouvernements et institutions de l’Union européenne détestent la démocratie. Il y a dix ans, ils ont pu compter sur les dirigeants politiques français pour effacer un Non populaire à la Constitution européenne. Depuis le 25 janvier 2015 et la victoire électorale de Syriza en Grèce, la troïka UE-BCE-FMI use d’une brutalité inouïe pour faire capituler le gouvernement Tsipras, pour que le choix populaire d’en finir avec l’austérité soit bafoué. Cliquer ici

Jusqu’en mai 2010, avant que ne soit activé par la « troïka » (Banque centrale européenne, Commission de Bruxelles et Fonds monétaire international) le premier plan d’aide à la Grèce, les dépenses publiques du pays n’étaient pas plus élevées que celle de la moyenne des Etats de la zone euro. Alors, quelles sont les causes de l’envolée de la dette publique ? La faute à l’explosion des dettes privées. « La crise des finances publiques a été alimentée par un endettement privé qui a fini par imploser, explique l’économiste Michel Husson, membre de la commission. Le surendettement des ménages favorisé par une incitation des banques à obtenir des crédits à tout va, et sans en mesurer les risques, a fini par mettre à terre le système bancaire du pays. » Cliquer ici

  De grandes institutions qui violent les règles élémentaires de droit, bafouent leurs propres statuts, tolèrent des malversations et des fraudes, de grands responsables politiques et financiers pris en flagrant délit d’infraction et de malversation, et pour finir un peuple grec floué, humilié et spolié, telle est la triste réalité que révèle en pleine lumière le Rapport préliminaire de la Commission pour la Vérité sur la Dette grecque |1|.
Contrairement à ce que répète à l’envi la cohorte d’experts et de journalistes invités à demeure des plateaux de télévision, des radios et de la presse écrite, la crise grecque ne trouve pas son origine dans un peuple essentialisé comme fainéant, fraudeur et vivant à bon compte sur le dos de l’Europe et de ses habitants. C’est une toute autre histoire que met en évidence la Commission à l’issue de ses premières investigations.  Cliquer ici


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