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Le NPA dans la mobilisation contre la Loi Travail et son monde...


 Ses analyses, ses propositions...

 Les militant-es du NPA 34 sont pleinement investi-es dans l'actuelle mobilisation. Ils participent aux côtés de dizaines, de centaines d'autres aux actions contre les attaques gouvernementales-patronales, ils contribuent au débat d'idée et à l'élaboration des perspectives dans le cadre de l'AG Populaire/Nuit Debout. Ils oeuvrent à renforcer la démocratie directe, à respecter la souveraineté des AG... A l'heure où le mouvement se trouve à un tournant stratégique, il importe de dégager les axes politiques permettant d'envoyer à la poubelle le projet de Loi "Travail" et ainsi de poser les jalons d'une contestation, assumant pleinement d'être anticapitaliste, de la société pourrie qu'"ils/elles" nous l'imposent. On trouvera ci-dessous ce que les militant-es du NPA 34 soumettent à la réflexion collective.


 La ministre du Travail le dit et le répète, elle ne cédera pas à la rue et ne retirera pas la loi travail. Depuis bientôt deux mois, c’est pourtant la rue, c’est-à-dire les manifestations, qui sert de baromètre à la mobilisation contre cette loi qui entraînerait des reculs sociaux décisifs.

Le mercredi 9 mars fut un peu une divine surprise avec des cortèges importants et combatifs, cela alors que l’appel reposait au départ sur la seule pétition contre le premier projet de loi, avec des syndicats notamment CGT peu disposés à engager la bataille. Jeunes et équipes syndicales ont alors transformé de simples rassemblements en manifestations combatives.

La fixation de la journée nationale au 31 mars a suscité de nombreux débats : trop « loin » ou donnant du temps pour mobiliser ? Les journées intermédiaires des 14 et 21 mars, initiées par les organisations de jeunes, certains syndicats, associées à l’émergence des Nuits debout, ont assuré la permanence de la mobilisation, parfois même son élargissement. Cliquer ici



Ce samedi 7 mai, on réinvestit la place de la Comédie pour une nouvelle Nuit Debout. Venez avec vos idées, vos rêves, votre envie d'agir et de construire ensemble une société plus humaine et plus démocratique.

A 18h commence une grande AG populaire.
Après l'AG les commissions se retrouvent, les ateliers se mettent en place et un espace de parole libre continu d'être ouvert.

Commissions et ateliers déjà en place :
Action – Communication – Organisation – Inter-lutte – Logement – Féminisme – Ecologie – Artistique – Jeux debout - Sciences debout – Médecine debout - Livres debout

Retrouver aussi la bibliodebout et un musée dehors virtuel en ligne au long de la soirée.

A 16h la commission logistique a besoin de monde pour aider à mettre tout en place !
Cliquer ici 





Les crises ouvrent le champ des possibles, et celle qui a commencé en 2007 avec l’effondrement du marché des subprimes ne déroge pas à la règle. Les forces politiques qui soutenaient l’ancien monde sont en voie de décomposition, à commencer par la social-démocratie, qui a franchi depuis 2012 une étape supplémentaire dans son long processus d’accommodement avec l’ordre existant. En face d’elles, le Front national détourne à son profit une partie de la colère sociale en jouant d’une posture prétendument antisystème, alors même qu’il n’en remet rien en cause, et surtout pas la loi du marché.
C’est dans ce contexte qu’est né Nuit debout, qui célèbre ces jours-ci son premier mois d’existence. Depuis la chute du mur de Berlin, la contestation du néolibéralisme a pris des formes diverses : gouvernements « bolivariens » en Amérique latine dans les années 2000, « printemps arabes », Occupy Wall Street, « indignés » espagnols, Syriza en Grèce, campagnes de Jeremy Corbyn et Bernie Sanders en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis… Les historiens futurs qui se pencheront sur notre époque se diront sans doute qu’elle fut particulièrement riche en mouvements politiques et sociaux. Cliquer ici

 
Pour contraindre le gouvernement à céder, nous avons besoin de construire un mouvement d’ensemble qui paralyse l’économie, une grève générale. Il est nécessaire que tous les salariéEs arrêtent de travailler au même moment, pas une seule mais plusieurs journées de suite, que le pays et la production s’arrêtent.

Un joli mois de mai ... pour la grève générale !

Si une nouvelle journée de grève interprofessionnelle, couplée avec une nouvelle grève à la SNCF contre la casse du statut des cheminotEs, est programmée pour la mi-mai par l’intersyndicale nationale, l’enjeu sera de faire en sorte que celle-ci soit bel et bien – enfin – le début de la grève qu’on « reconduit » comme l’a dit Martinez, le dirigeant de la CGT, au meeting de Nuit debout le 28 avril à Paris après la manifestation. Cela se fera en discutant, sur nos lieux de travail, en assemblée générale, en osant franchir le pas vers un mouvement qui dure et qui engage enfin le vrai bras de fer. Cliquer ici




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