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Au fil de l'actu impertinente et critique ...

 
 "Nos" escrocs du FN,  du gouvernement mais aussi les machos du gouvernement polonais ne sont pas à la fête...

Cette semaine, alors que le Front national se retrouve devant la justice dans une affaire d'escroquerie, une autre arnaque se retrouve avérée : celle du CICE, la mesure qui nous promettait un million d'emplois. Pendant ce temps, en Pologne, les citoyens contraignent leur gouvernement à les écouter. Tous les détails dans cette vidéo.



 Plus d'infos en déconstruction de leur crapuleries politiques

Ce qu'il dépense d'une main, le CHU doit donc l'économiser de l'autre. Car s'il ne maintient pas un certain taux d'autofinancement, l'hôpital risque de voir son budget rejeté par l'agence régionale de santé (ARS), voire, si les déficits de l'établissement sont trop élevés, tomber sous la tutelle de l'Etat.
La direction du CHU procède donc à des restructurations, supprime des postes au passage, ce qui intensifie le travail. « Nous sommes en situation de sous-effectif permanent. A chaque restructuration, on nous explique qu'il faut rendre des postes ». Cliquer ici


En l’absence d’un boulot sérieux sur le sujet par les directions syndicales du secteur, plusieurs lycées (au départ dans le 92 et le 95) ont décidé de coordonner leurs actions et de se doter d’une plateforme revendicative commune : l’appel « Touche pas ma ZEP ». Avec une demande unifiante très simple pour tous les établissements qui relèvent de l’éducation prioritaire (quel que soient leur classement) ou qui devraient en relever : une carte élargie de l’éducation prioritaire avec un label unique contraignant en termes de moyens pour les élèves (effectifs limités, cours en demi-groupes…) mais aussi en termes d’indemnités ou de droits à la mutation afin de stabiliser les équipes. Résultat : un mouvement qui s’étend et un collectif qui compte maintenant près de 50 lycées mobilisés signataires et qui se réunit régulièrement à la bourse du travail de Paris pour décider ensemble. Cliquer ici

 
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Le pouvoir a décidé de détruire le campement de la Lande à Calais. Laisser faire sera tragique pour les migrantEs, pour Calais et pour notre monde.

Le campement n'est pas la jungle et les migrantEs ne sont pas des sauvages. La jungle qui vient, la véritable jungle, c'est plutôt le monde de ceux et celles qui, de Hollande à Le Pen, en passant par Sarkozy, veulent détruire le campement.

Rappelons que c'est ce même pouvoir qui a poussé les migrantEs à construire un bidonville dans ce lieu insalubre après les avoir expulséEs de force des campements et lieux occupés dans le centre de Calais. Rappelons que c'est ce même pouvoir qui a construit des « abris » sur le campement pour mieux justifier, il y a 6 mois, la destruction de sa partie sud. Rappelons que c'est ce même pouvoir qui a envoyé les CRS réprimer la manifestation de solidarité du 1er octobre et détruire les sanitaires. Rappelons que ce même pouvoir a déjà expulsé dans des « vols groupés » plus de 1500 migrantEs de Calais ces derniers mois et qu'il pourchasse les réfugiéEs dans les rues de Paris. Rappelons que c'est ce même pouvoir qui planifie l'expulsion de milliers de réfugiéEs afghanEs dans un troc sordide avec le régime afghan. Cliquer ici

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 A l'occasion de la COP21, les Etats ont enregistré auprès de l'ONU leurs propositions de politiques climatiques pour les années post-2020. L'ONU a fait le calcul : un record d'émissions mondiales pourrait être battu chaque année d'ici à 2030 pour atteindre 55 gigatonnes d'équivalent C02 en 2025 et 56,2 Gt éq. CO2 en 2030 (courbe jaune du graphique). Soit 18 % et 37% d'émissions en trop par rapport à ce qu'exige une trajectoire 2°C (courbe bleue) et bien plus encore par rapport à une trajectoire de 1,5°C (courbe verte). Autrement dit, les Etats envisagent de consommer 53 % du budget carbone dont nous disposons d'ici à 2025 et 74% d'ici à 2030.
Résultat : avec de tels engagements, le réchauffement climatique devrait être largement supérieur à 3°C, en contradiction flagrante avec l'article 2 de l'Accord de Paris qui prévoit que les Etats agissent pour contenir le réchauffement en deçà de 2°C, ou même, idéalement, en deçà de 1,5°C. Disons-le autrement : avant même que l'Accord de Paris n'entre en vigueur, les Etats violent les (maigres) engagements qu'il contient. Le décalage entre ce qui devrait être fait, et ce que les Etats s'engagent à faire est immense. Il est urgent et nécessaire que les Etats revoient à la hausse l'ambition de leurs politiques climatiques, au risque de voir l'emballement climatique s'accélérer (le graphique est une courbe moyenne sur les 12 derniers mois réalisée par James Hansen). Cliquer ici
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Pourquoi le mouvement du printemps n’a-t-il pas réussi à faire plier le gouvernement ? En quoi a-t-il cependant fait bouger les lignes, et interrogé l’action syndicale ? Interview d’Éric Beynel, porte-parole du syndicat Solidaires.
Éric Beynel est porte-parole de l’Union syndicale Solidaires qui regroupe, par exemple, les fédérations Sud-PTT, Sud-Rail, Sud éducation, Sud Santé Sociaux, ou encore Solidaires étudiant.e.s. En compagnie de six autres organisations, Solidaires a fait partie de l’intersyndicale contre le loi travail durant toute la durée du mouvement social. Cliquer ici
 
 Nous vivons aujourd’hui dans un système politique extrêmement inégal, qui engendre la concentration de la richesse par quelques-uns. Or, les personnes bénéficiaires de ce système bloquent l’accès à une vie meilleure pour tout le monde. Dans ce contexte, le progrès technologique qui permet la diminution du travail est confisqué par certains, aux dépens de tous les autres. Autrement dit, le problème n’est pas que nos inventions soient mauvaises en soi, mais nous tolérons un système politique qui les détourne de leurs capacités à faire du bien. Et ce système politique, c’est le capitalisme. Le capitalisme est un système qui crée un aveuglement concernant son caractère absolument abominable.
[…]  Pour ma part, je dis au contraire que le moment est venu : s’il n’y a pas de prise de conscience générale, pas de rébellion dans les cinq années qui viennent, c’est cuit pour l’espèce humaine. Le tournant, c’est maintenant. Il faut sortir du capitalisme ! Se débarrasser du capitalisme était une question de justice au XIXème siècle, maintenant c’est une question de survie. Cliquer ici


 NPA 34, NPA

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