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Région. Les fonctionnaires dans la rue...



Ils étaient près d'un millier à manifester à Montpellier
(correspondance NPA 34)

L'appel à mobilisation émanait de la CGT, de Solidaires et de la FSU et appelait à dire stop au dégraissage dans la Fonction publique. Le pouvoir d'achat était aussi au centre des revendications. 

Parmi les plus présents dans le cortège on notait les enseignants, les personnels du CHU. Les précaires étaient là à travers, en particulier le Collectif des précaires de la recherche, bien visible avec ses tee-shirts rouges rappelant  que le maintien de la recherche ne pourra se faire sans un réel changement de la politique de l'emploi, demandant  le renouvellement des contrats des personnels non-tiitulaires, l'abrogation des circulaires limitant les CDD à 3 ans et un plan de titularisation à hauteur de 5000 postes par an pendant 5 ans.


Le NPA  a distribué un tract (voir ci-dessous) appelant à un tous ensemble car, nous le voyons bien, il y a urgence à faire converger les luttes contre l'austérité...Ensemble nous serions plus forts! 

Martine, correspondante NPA 34


 Photos NPA 34



P 

 

Photos France 3 Région

Montpellier

[environ 100 manifestants à Béziers] 


Perpignan (500)

[Entre 150 et 200 à Carcassonne, environ 100 à Narbonne]


Nîmes (entre 500 et 700)

 [environ 100 à Alès]





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Pour quelles raisons manifestent les fonctionnaires ?
Le Monde.fr |
Manifestation des fonctionnaires dans les rues de Paris, jeudi.

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 Le revoilà le "corporatisme" enseignant !

 Il aura suffi que les professeurs des écoles parisiennes déclenchent une grève particulièrement bien suivie pour que resurgisse la vieille obsession du "corporatisme" des enseignants. La droite a usé jusqu'à la corde de ce ressort du dénigrement pour faire passer des réformes qui ont conduit à une véritable régression des conditions de travail des personnels.Mais ce qui apparaît aujourd'hui à ceux qui l'auraient oublié, c'est que la gauche est une adepte du "truc" : Peillon et Julliard ont ainsi renoué avec la méthode qui avait pourtant coûté si cher à Lionel Jospin, celle de son ministre de l'Education Claude Allègre bovinement attelé à "dégraisser le mammouth de l'Education Nationale" en gelant la dépense éducative. Là aussi l'accusation de corporatisme avait fait feu de tout bois avec l'objectif de casser les solidarités, en premier lieu celle des parents d'élèves mais aussi celle des autres couches de salariés, envers les salariés de l'Education.
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